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Biographie Résistance Immigration
Leon Kahn

Léon Kahn est né dans un foyer juif orthodoxe en 1925 à Eisiskes en Pologne (aujourd’hui en Lituanie). En juin 1941, Eisiskes est occupé par les Allemands et quelques mois plus tard, la plupart des habitants juifs de la ville sont massacrés par des membres lituaniens des Einsatzgruppen. De leur cachette, Léon et son frère assistent au massacre.

Ils s’enfuient dans le ghetto voisin de Radun, où leur famille s’est réfugiée quelques semaines plus tôt. Lorsque le ghetto est liquidé en mai 1942, la famille de Léon se cache dans un grenier, mais ils sont rapidement découverts. Son père s’échappe, tandis que sa mère reste avec sa grand-mère. Elles sont probablement déportées à Treblinka et gazées sur le champ.

Léon s’échappe aussi et rejoint les partisans. Ces derniers lui donnent une formation de combat et il devient un expert dans le dynamitage des trains. Lorsque l’armée soviétique libère la région en juillet 1944, Léon passe deux mois à pourchasser et capturer des Allemands et à les envoyer dans des camps de prisonniers de guerre, ou à les tuer sur place.

En septembre, il retourne à Eisiskes mais ne trouve personne de sa famille. Son frère a été tué par des collaborateurs lituaniens, son père et sa sœur par des membres de l’armée polonaise. Léon est inscrit dans une école du KGB à Vilnius, mais après trois mois, il s’enfuit. Il réussit à passer la frontière à Lodz, en Pologne et de là, va dans un camp de personnes déplacées à Salzbourg, en Autriche.

Il immigre au Canada en 1948, lorsque le pays ouvre ses frontières aux travailleurs spécialisés du textile. Léon réussit à se faire passer pour un tailleur et s’installe à Vancouver où il devient un promoteur immobilier prospère. Il a deux fils et une fille. Il décède en 2003.

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Leon Kahn

Léon Kahn est né dans un foyer juif orthodoxe en 1925 à Eisiskes en Pologne (aujourd’hui en Lituanie). En juin 1941, Eisiskes est occupé par les Allemands et quelques mois plus tard, la plupart des habitants juifs de la ville sont massacrés par des membres lituaniens des Einsatzgruppen. De leur cachette, Léon et son frère assistent au massacre.

Ils s’enfuient dans le ghetto voisin de Radun, où leur famille s’est réfugiée quelques semaines plus tôt. Lorsque le ghetto est liquidé en mai 1942, la famille de Léon se cache dans un grenier, mais ils sont rapidement découverts. Son père s’échappe, tandis que sa mère reste avec sa grand-mère. Elles sont probablement déportées à Treblinka et gazées sur le champ.

Léon s’échappe aussi et rejoint les partisans. Ces derniers lui donnent une formation de combat et il devient un expert dans le dynamitage des trains. Lorsque l’armée soviétique libère la région en juillet 1944, Léon passe deux mois à pourchasser et capturer des Allemands et à les envoyer dans des camps de prisonniers de guerre, ou à les tuer sur place.

En septembre, il retourne à Eisiskes mais ne trouve personne de sa famille. Son frère a été tué par des collaborateurs lituaniens, son père et sa sœur par des membres de l’armée polonaise. Léon est inscrit dans une école du KGB à Vilnius, mais après trois mois, il s’enfuit. Il réussit à passer la frontière à Lodz, en Pologne et de là, va dans un camp de personnes déplacées à Salzbourg, en Autriche.

Il immigre au Canada en 1948, lorsque le pays ouvre ses frontières aux travailleurs spécialisés du textile. Léon réussit à se faire passer pour un tailleur et s’installe à Vancouver où il devient un promoteur immobilier prospère. Il a deux fils et une fille. Il décède en 2003.

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Leon Kahn

Léon Kahn est né dans un foyer juif orthodoxe en 1925 à Eisiskes en Pologne (aujourd’hui en Lituanie). En juin 1941, Eisiskes est occupé par les Allemands et quelques mois plus tard, la plupart des habitants juifs de la ville sont massacrés par des membres lituaniens des Einsatzgruppen. De leur cachette, Léon et son frère assistent au massacre.

Ils s’enfuient dans le ghetto voisin de Radun, où leur famille s’est réfugiée quelques semaines plus tôt. Lorsque le ghetto est liquidé en mai 1942, la famille de Léon se cache dans un grenier, mais ils sont rapidement découverts. Son père s’échappe, tandis que sa mère reste avec sa grand-mère. Elles sont probablement déportées à Treblinka et gazées sur le champ.

Léon s’échappe aussi et rejoint les partisans. Ces derniers lui donnent une formation de combat et il devient un expert dans le dynamitage des trains. Lorsque l’armée soviétique libère la région en juillet 1944, Léon passe deux mois à pourchasser et capturer des Allemands et à les envoyer dans des camps de prisonniers de guerre, ou à les tuer sur place.

En septembre, il retourne à Eisiskes mais ne trouve personne de sa famille. Son frère a été tué par des collaborateurs lituaniens, son père et sa sœur par des membres de l’armée polonaise. Léon est inscrit dans une école du KGB à Vilnius, mais après trois mois, il s’enfuit. Il réussit à passer la frontière à Lodz, en Pologne et de là, va dans un camp de personnes déplacées à Salzbourg, en Autriche.

Il immigre au Canada en 1948, lorsque le pays ouvre ses frontières aux travailleurs spécialisés du textile. Léon réussit à se faire passer pour un tailleur et s’installe à Vancouver où il devient un promoteur immobilier prospère. Il a deux fils et une fille. Il décède en 2003.

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Leon Kahn

Léon Kahn est né dans un foyer juif orthodoxe en 1925 à Eisiskes en Pologne (aujourd’hui en Lituanie). En juin 1941, Eisiskes est occupé par les Allemands et quelques mois plus tard, la plupart des habitants juifs de la ville sont massacrés par des membres lituaniens des Einsatzgruppen. De leur cachette, Léon et son frère assistent au massacre.

Ils s’enfuient dans le ghetto voisin de Radun, où leur famille s’est réfugiée quelques semaines plus tôt. Lorsque le ghetto est liquidé en mai 1942, la famille de Léon se cache dans un grenier, mais ils sont rapidement découverts. Son père s’échappe, tandis que sa mère reste avec sa grand-mère. Elles sont probablement déportées à Treblinka et gazées sur le champ.

Léon s’échappe aussi et rejoint les partisans. Ces derniers lui donnent une formation de combat et il devient un expert dans le dynamitage des trains. Lorsque l’armée soviétique libère la région en juillet 1944, Léon passe deux mois à pourchasser et capturer des Allemands et à les envoyer dans des camps de prisonniers de guerre, ou à les tuer sur place.

En septembre, il retourne à Eisiskes mais ne trouve personne de sa famille. Son frère a été tué par des collaborateurs lituaniens, son père et sa sœur par des membres de l’armée polonaise. Léon est inscrit dans une école du KGB à Vilnius, mais après trois mois, il s’enfuit. Il réussit à passer la frontière à Lodz, en Pologne et de là, va dans un camp de personnes déplacées à Salzbourg, en Autriche.

Il immigre au Canada en 1948, lorsque le pays ouvre ses frontières aux travailleurs spécialisés du textile. Léon réussit à se faire passer pour un tailleur et s’installe à Vancouver où il devient un promoteur immobilier prospère. Il a deux fils et une fille. Il décède en 2003.

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Leon Kahn

Léon Kahn est né dans un foyer juif orthodoxe en 1925 à Eisiskes en Pologne (aujourd’hui en Lituanie). En juin 1941, Eisiskes est occupé par les Allemands et quelques mois plus tard, la plupart des habitants juifs de la ville sont massacrés par des membres lituaniens des Einsatzgruppen. De leur cachette, Léon et son frère assistent au massacre.

Ils s’enfuient dans le ghetto voisin de Radun, où leur famille s’est réfugiée quelques semaines plus tôt. Lorsque le ghetto est liquidé en mai 1942, la famille de Léon se cache dans un grenier, mais ils sont rapidement découverts. Son père s’échappe, tandis que sa mère reste avec sa grand-mère. Elles sont probablement déportées à Treblinka et gazées sur le champ.

Léon s’échappe aussi et rejoint les partisans. Ces derniers lui donnent une formation de combat et il devient un expert dans le dynamitage des trains. Lorsque l’armée soviétique libère la région en juillet 1944, Léon passe deux mois à pourchasser et capturer des Allemands et à les envoyer dans des camps de prisonniers de guerre, ou à les tuer sur place.

En septembre, il retourne à Eisiskes mais ne trouve personne de sa famille. Son frère a été tué par des collaborateurs lituaniens, son père et sa sœur par des membres de l’armée polonaise. Léon est inscrit dans une école du KGB à Vilnius, mais après trois mois, il s’enfuit. Il réussit à passer la frontière à Lodz, en Pologne et de là, va dans un camp de personnes déplacées à Salzbourg, en Autriche.

Il immigre au Canada en 1948, lorsque le pays ouvre ses frontières aux travailleurs spécialisés du textile. Léon réussit à se faire passer pour un tailleur et s’installe à Vancouver où il devient un promoteur immobilier prospère. Il a deux fils et une fille. Il décède en 2003.